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Dès le début, nous nous sommes dit qu'avoir une connaissance sur l'évolution des données de température et d'humidité était important. Cela nous permettrait de savoir:
J'avais déjà expérimenté quelques capteurs dont de suivi de qualité de l'air, analyse des micro-particules PM2.5 et PM10 et de gaz en reproduisant le taf du système de Capteurs citoyens & qualité de l'air de Rennes ou suivant https://github.com/megastef/AirPollutionTracker sur Saint-Nazaire ou il y a de quoi se poser des questions.
Et j'avais aussi tout un savoir autour des capteurs dans le cadre artistique avec Dom (capteurs lumières, sons, mouvements etc). Donc cela semblait facile à réaliser.
Ce sont greffés, les envies de suivre bien plus de phénomènes évidement. Et le plan de poser suffisamment de capteur dans les bâtiments pour corréler le mieux possible mesures/phénomènes et causes physiques(ou non).
Dans un premier temps, l'usage des puces WiFi ESP8266 semblaient tout indiqué, pas cher, peu gourmandes et surtout que j'en ai une bonne pratique. J'ai testé plusieurs capteurs simple DHT11/12 ou intégré DY et CJMCU.
Les principes que je gardais à l'esprit étaient:
J'ai testé au début des capteurs mobiles, qu'ont pouvait déposer ou l'on voulait grâce à une batterie lithium (18650 de récup), mais cette idée de batterie s'est avérée être une mauvaise idée. j'aurais du y penser puisque je lutte déjà contre la fausse bonne idée du matériel électro-portatif sur batterie depuis le début.
L'usage de batterie cause trop de problèmes, d'inconnue et finalement de stress:
D'où la nécessité de réserver les capteurs sur batterie à des mesures qui sont par obligation mobiles et ou un fil ne peut absolument pas être utilisé et de façon temporaire.
J'ai commencé à monter les platines sur des transformateurs secteur→5V venant d'alimentation USB, ex chargeur de portable. Mais
D'où finalement
Ensuite il ya eu des problèmes liées à la mauvaise transmission des données. Les réseaux WiFi à Kerminy ne sont pas encore terribles, il nous faut 'investir' dans des point d'accès plus sérieux (Ubiquiti?) et surtout faire attention à l'implantation, proximité des murs, champs d'émission…
Ou expérimenter sur le réseau Lora , ce qui se fera très bientôt.
Ou encore un autre réseau filaire, au lieu de se connecter sur le LAN par des switch ce qui pourrait demander trop de cable réseau, passer sur un réseau RS422 ou RS485 sur un chemin 4 fils simple. Ça c'est une idée…
Après bien une année d'expériences, nos idées ont quelque peu évoluées.
De façon pragmatique, en prenant du recul nous pensons que le jeu n'en vaut sans doute pas la chandelle.
Si nous tentons de faire le bilan de l'installation.
Ainsi, nous pourrions proposer
Au cas par cas, nous avons besoin:
Enregistrement des températures/hygrométrie par des appareils mécaniques, , il suffit d'en placer un seul dans ce qu'on estime la plus grand zone de température stable/similaire. On peut faire quelques mesures simultanée avec un autre thermomètre pour en déduire les éventuelles variations dans la zone. On en trouve d'occasion pour quelques dizaines d'euro.
Retranscription des données utiles à la main dans des fichiers informatiques. Avoir quelques données judicieuses vaut mieux qu'un flot approximatif. On peut aussi annoter.
Impression des graphiques sur papier, impression laser pour archivage dans un classeur. Le papier est de fait le plus accessible et durable …
Formation des utilisateurs en vue d'inculquer un réel savoir plutot une vague connaissance des informations. On évite l'apprentissage des outils numériques en étant directement sur une trace des phénomènes.
Fabrication d'alarme et d'automatisme par ajout d'actionneur directement sur les mécanismes. De simple contact optique sur la course du stylet suffirait pour actionner une ouverture/fermeture, un signal…
… en cours vers suivis_mecanique